La Maison-Blanche a confié au département d'Etat le soin d'étudier les moyens de contourner la répression numérique mise en œuvre par la Corée du Nord. Ce faisant, la présidence américaine privilégie la diplomatie au détriment des acteurs du renseignement.
Après la présidence de Moon, qui se voulait conciliant avec la Corée du Nord, les services diplomatiques et de renseignement du nouveau président sud-coréen Yoon Suk-yeol se mobilisent tous azimuts pour remuscler le discours d'influence face à Pyongyang en Europe.
Longtemps fréquenté par les dirigeants de la CIA, le Cosmos Club, prestigieuse institution de Washington, a récemment porté à sa tête un enquêteur privé, Michael Pocalyko, dont le dernier contrat pour des intérêts saoudiens a viré au drame.
Le représentant des entrepreneurs kazakhs Roustam Joursounov fait aussi figure de courroie de transmission entre projets législatifs de traque des actifs illégalement acquis et hommes d'affaires du pays. En particulier pour le magnat de l'énergie, Timour Koulibaïev.
Sous l'œil du service conformité de TotalEnergies, les sociétés de sécurité s'écharpent sur l'attribution d'un contrat de protection par le groupe pétrolier français à un petit prestataire qui concentre les rancœurs.
Pour pallier ses carences en matière de renseignement satellitaire et se doter d'une capacité accrue de partage et de fusion des données, l'OTAN lance le projet de constellation virtuelle Aquila. Des discussions sont en cours avec des industriels européens et américains du secteur.
L'ancien partenaire de Senpai Technologies, Roy Shloman, était de nouveau présent aux Emirats pour présenter les technologies de renseignement en source ouverte (OSINT) de l'une de ses sociétés, XYZ Elements. Multi-entrepreneur, l'homme est à la tête de plusieurs entreprises dans différents domaines du renseignement.