L'article 702 du Foreign Intelligence Surveillance Act, qui doit expirer à la fin de l'année, divise les républicains, les démocrates et même la communauté du renseignement. La question de sa prolongation ou de sa réforme commence à être scrutée par les entreprises de la tech.
Sous la coordination de deux membres du comité permanent du politburo, Wang Huning et Ding Xuexiang, la nouvelle faction de Shanghai se mobilise pour anéantir les protégés de Jiang Zemin dans les milieux universitaire et militaire.
La justice britannique a rejeté la demande de "delisting" du fournisseur biélorusse de logiciels de reconnaissance faciale Synesis, préférant faire confiance au renseignement étatique plutôt qu'aux preuves fournies par la partie civile. Et remet ainsi en question l'utilité pour les entités sanctionnées de faire appel à des enquêteurs privés.
L'ancien d'Intellexa Daniel Geifman se lance en solo dans le développement commercial en Amérique latine, avec son nouveau cabinet Totem Solutions. Malgré des affaires fortement médiatisées, le cyber israélien reste très en vue sur place.
Victime de la crise économique et des déboires du marché des cryptomonnaies, le fonds d'investissement américain Thoma Bravo répercute ses pertes sur son portefeuille d'entreprises cyber. Ce qui se traduit par une drastique opération de réduction des coûts, édictée notamment dans l'entreprise de cyber threat intelligence Intel 471.
Le nouveau vaisseau amiral du cyber-renseignement émirati, CPX, peine à convaincre. Du fait de lacunes en termes de technologie, il rencontre certaines difficultés à conserver ses contrats, à l'heure où les autres cyberentreprises parapubliques du pays se renforcent.