La Gazette du renseignement
Rosfinmonitoring, DNI contre Cosco, base russe au Tadjikistan

La Gazette du renseignement
Ingérences étrangères en France, 201e base tadjike, salon à Marseille sans Pékin

Nominations, réformes, enjeux : chaque lundi, les petites et les grandes histoires de la communauté mondiale du renseignement.

FranceUne proposition de loi pour ratisser large contre les ingérences étrangères

Russie/TadjikistanMoscou décore son historien militaire favori à Douchanbé

France/ChinePékin snobe l'Euromaritime de Marseille

Afghanistan, Asie centrale, Russie
Les maîtres-espions centrasiatiques cherchent à remettre le sujet afghan dans l'œil de Moscou

Le silovik en chef Nikolaï Patrouchev continue d'assister aux forums de discussions entre maîtres-espions centrasiatiques préoccupés par le risque sécuritaire taliban. La priorité donnée à la guerre menée en Ukraine contraint pourtant les forces russes à se désengager peu à peu de l'Asie centrale.

La Gazette du renseignement
SNRP, Service de sécurité kazakh, SGDSN, DNI dans les ports chinois

Nominations, réformes, enjeux : chaque semaine, les petites et les grandes histoires de la communauté mondiale du renseignement, de Paris à Washington, en passant par Noursoultan.

KazakhstanAprès le KNB, le président kazakh s'entoure d'alliés pour diriger son Service de sécurité

FranceLe SGDSN adepte du serious game

Etats-UnisLe DNI de nouveau mobilisé sur les ports contrôlés par Pékin

FranceLe SNRP gagne l'accès aux formations réservées aux services du premier cercle

Tadjikistan
Pourquoi Douchanbé cherche à maintenir l'attention de ses alliés sur la menace talibane

A la faveur de la mobilisation exceptionnelle des troupes de l'OTSC au Kazakhstan, le président tadjik Emomalii Rahmon n'a pas manqué de marteler la menace persistante posée par les Talibans afghans, au sud. Ce dans la lignée de ses poussées diplomatiques et de ses efforts pour accroître l'intégration de ses services de sécurité aux instances régionales.

Russie
Les jeunes silovikis bloqués par une vieille garde qui s'accroche

Après avoir permis aux généraux les plus stratégiques de quitter le service cinq ans plus tard que l'âge réglementaire de la retraite, le Kremlin désire désormais pouvoir les prolonger à la demande. Ce qui n'est pas sans ralentir la carrière de plus jeunes officiers prometteurs.