Le cas du biélorusse Synesis met en tension le marché des enquêtes anti-sanctions
La justice britannique a rejeté la demande de "delisting" du fournisseur biélorusse de logiciels de reconnaissance faciale Synesis, préférant faire confiance au renseignement étatique plutôt qu'aux preuves fournies par la partie civile. Et remet ainsi en question l'utilité pour les entités sanctionnées de faire appel à des enquêteurs privés.