BAE Systems

Corée du Sud
Pour percer en Europe, S2W parie sur son modèle linguistique sur le dark web

Auréolée par la publication du premier modèle linguistique développé sur le dark web, l'entreprise sud-coréenne de renseignement sur la menace S2W a lancé sa mission prospective en Europe. Cette vitrine peine néanmoins à convaincre les experts du domaine.

Royaume-Uni
L'ex-chef du renseignement de BAE épaule Brennan & Partners

Ayant occupé pendant dix ans le poste le plus secret du géant de la défense britannique BAE Systems, Andrew Cooper se fait diplomate d'affaires auprès du barrister Daniel Brennan, ancien membre de la commission parlementaire sur la stratégie de sécurité nationale.

États-Unis, Taïwan
Comment l'US-Taiwan Business Council aide les fabricants d'armes américains à doper leurs ventes

Une délégation d'industriels de défense américains, conduite par l'US-Taiwan Business Council, doit se rendre à Taipei début mai pour rencontrer la présidente Tsai Ing-wen et discuter de nouveaux contrats.

Royaume-Uni
Passant de l'ombre à la lumière, une National Cyber Force en quête d'identité

Acteur discret et en plein développement, la National Cyber Force est vouée à devenir le fer de lance du Royaume-Uni pour affronter ses adversaires dans le cyberespace. Elle a dévoilé le 4 avril son document de doctrine, un pas supplémentaire dans l'affirmation d'une identité propre.

Malaisie
Les cyberexperts britanniques fondent sur la threat intelligence malaisienne

Les spécialistes britanniques du renforcement des capacités cyber accélèrent les partenariats à Kuala Lumpur, tirant notamment profit de l'appétit grandissant de la Malaisie pour les technologies de renseignement sur la menace.

États-Unis
Bataille de lobbyings pour prolonger la loi sur les interceptions

L'article 702 du Foreign Intelligence Surveillance Act, qui doit expirer à la fin de l'année, divise les républicains, les démocrates et même la communauté du renseignement. La question de sa prolongation ou de sa réforme commence à être scrutée par les entreprises de la tech.

L'Écho du village du renseignement d'affaires
Prisme Intelligence à Paris, Field Intelligence à Londres, Mercato chez Sibylline, BAE sans Powell

Nominations, résultats financiers, nouveaux contrats : chaque semaine, les petites et les grandes histoires de la communauté mondiale du renseignement d'affaires, de Paris à Londres.

ParisL'ex-officier Maï-Linh Camus dans le conseil

LondresAprès G3, Anwar Darkazally veut verdir le renseignement d'affaires

LondresMercato chez un Sibylline en pleine croissance

LondresBAE et Charles Powell, c'est fini

Arabie saoudite
Des télécoms aux munitions high-tech, le clan Zamil toujours plus près de la défense saoudienne

Partenaire clé de longue date pour les industriels étrangers en Arabie saoudite, la famille al-Zamil étend son empreinte sur la défense saoudienne. Et compte pour cela s'appuyer sur sa société Wahaj, qui multiplie les partenariats autant dans le pays qu'à l'étranger.

Arabie saoudite
Abdullah bin Naïf al-Saoud, le prince derrière les contrats lifestyle de Riyad

Avec l'ouverture prochaine de plusieurs dizaines d'enseignes internationales en Arabie saoudite, la société MJS Holding monte en puissance dans les grands projets de Mohammed bin Salman. Elle a été ciblée par Accor pour implanter ses hôtels dans les futures destinations touristiques du royaume.

Australie
Après Intel 471, Mark Arena se lance dans le cyberblindage des drones avec DroneSec

Fraîchement retiré de la direction du groupe de renseignement sur la menace Intel 471, Mark Arena se reconvertit en conseiller et se lance dans la cybersécurité pour drones en rejoignant le conseil de l'australien DroneSec.

La Watchlist technique
Andreï Masalovitch persiste à Naypyidaw, Argon ST pour les capteurs SIGINT de la Navy, Victor Yeo rejoint G42, Moscou resserre sa cybersécurité

Du SIGINT au GEOINT en passant par l'OSINT, sans oublier le cyber : chaque semaine, les petites et les grandes histoires - nominations, contrats, etc. - des prestataires en renseignement technique.

NaypyidawAndreï Masalovitch poursuit son opération séduction au Myanmar

FairfaxArgon ST prend en charge le contrat de la Navy pour le développement de capteurs multi-renseignement

Abou DhabiG42 s'offre l'expertise du Singapourien Victor Yeo

MoscouLe FSTEK veut serrer la vis sur la cybersécurité

La Watchlist technique
Centre de guerre hybride de l'UE, Campus Cyber, Social Links en Amérique latine, BAE Systems au Qatar

Du SIGINT au GEOINT en passant par l'OSINT, sans oublier le cyber : chaque semaine, les petites et les grandes histoires - nominations, contrats, etc. - des prestataires en renseignement technique.

BruxellesLeonardo et Indra mandatés pour construire le centre cyber européen.

ParisAvec Temno, le Campus Cyber parisien s'ouvre un peu plus au renseignement.

New York/MexicoSocial Links veut une part du marché latino-américain.

DohaBAE Systems fait son nid dans les réseaux d'affaires américains au Qatar.

L'Événement | Royaume-Uni
Advent réorganise le très stratégique spécialiste de la guerre électronique Ultra

Le fonds américain Advent remodèle en profondeur le groupe britannique prestataire des armées et du renseignement Ultra Electronics, qu'il a acquis au mois d'août. Il cherche notamment à satisfaire les autorités britanniques, inquiètes pour la souveraineté de certains de leurs contrats.

Europe
ChapsVision et Cy4gate poursuivent la consolidation du cyber-renseignement européen

Via le rachat de plus petites sociétés, l'entreprise française ChapsVision et sa concurrente italienne Cy4gate espèrent, chacune de leur côté, obtenir une place dominante.

Royaume-Uni
Les anciens chercheurs de vulnérabilités de BAE se rassemblent dans Foundry Zero

Foundry Zero, la jeune entreprise britannique spécialisée dans la recherche de failles fondée par des anciens de BAE Systems, accélère son développement entre Londres et Cheltenham.

Arabie saoudite, Espagne, France
Dans les coulisses de la défaite de Naval Group en Arabie saoudite

Face au contrat remporté par l'espagnol Navantia pour équiper la marine saoudienne, le français Naval Group a concédé sa défaite. En dépit d'un activisme commercial lancé à la hâte, son concurrent disposait déjà de nombreux atouts sur place.