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Faux espions : comment, par crainte de la Chine, Renault a tenu le renseignement intérieur à distance

Carlos Ghosn, PDG de Renault de 2005 à 2019, et Patrick Pélata, numéro 2 de la société, en 2010 à Paris.
Carlos Ghosn, PDG de Renault de 2005 à 2019, et Patrick Pélata, numéro 2 de la société, en 2010 à Paris. © Gonzalo Fuentes/Reuters
Le procès des fausses accusations d'espionnage contre des cadres de Renault au profit d'un concurrent chinois s'ouvre ce 17 janvier à Paris. Dans cette affaire, le constructeur automobile a tardé à informer la DCRI. [...]
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France
Quinze ans après, l'affaire des "faux espions" de Renault pourrait se terminer par un aveu négocié

Le principal responsable des fausses accusations d'espionnage au profit de la Chine chez Renault, Dominique Gevrey, pourrait opter pour une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité. Une décision qui mettrait fin à une affaire qui avait débordé le constructeur automobile, en menaçant d'ouvrir une crise diplomatique avec Pékin.

LogoAbonné Renseignement d'affaires 08.10.2025
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