France
Quinze ans après, l'affaire des "faux espions" de Renault pourrait se terminer par un aveu négocié
Le principal responsable des fausses accusations d'espionnage au profit de la Chine chez Renault, Dominique Gevrey, pourrait opter pour une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité. Une décision qui mettrait fin à une affaire qui avait débordé le constructeur automobile, en menaçant d'ouvrir une crise diplomatique avec Pékin.