Les maîtres-espions du NICRUS auscultent les pays baltes et centrasiatiques avec les médias d'Etat
La petite association à vocation scientifique peuplée d'ex-KGB, le NICRUS, s'est trouvé un nouveau cheval de bataille en la notion de "régime de communication". L'institut en assure l'étude dans les trois pays baltes et les cinq Etats centrasiatiques, grands réceptacles des tentatives d'influence de Moscou, avec l'aide du réseau de soft power russe, dont la Rossotroudnitchestvo et les institutions médiatiques.