Près de deux ans après le début du retrait partiel de leurs forces d'Irak, les Etats-Unis ont évalué les capacités de renseignement du pays. Le constat de lacunes persistantes plaide en faveur du maintien des missions de conseil.
Envoyés du ministère des armées dans les ambassades, les attachés de défense ne sont que peu souvent mandatés pour conduire des missions de renseignement. Ce qui n'empêche pas ces représentants diplomatico-militaires d'être issus du monde du renseignement.
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Les besoins en ressources humaines des services de renseignement conduisent ces derniers à élargir leur vivier de candidats à l'armée et aux universités. Ces campagnes s'appuient sur l'adoption de nouvelles mesures législatives par la Douma.
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Face aux visées de la Russie et, dans une moindre mesure, de la Chine, le service lituanien de renseignement civil, le VSD, est en première ligne. Bien qu'officiellement réformé, il est resté jusqu'à il y a peu embourbé dans les conflits internes, sur fond de politisation du renseignement.
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Après que le Conseil d'Etat grec a bloqué le projet d'expansion du port du Pirée, confié au géant Cosco pour 4,3 milliards d'euros, la Chine s'assure le soutien de la majorité conservatrice pour maintenir sa présence dans le pays.
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Lorsqu'il opérait en Suisse, l'ancien agent spécial du FBI reconverti en enquêteur privé Mark Rossini a été au centre d'un dossier discret visant une riche héritière et mobilisant les autorités helvétiques.
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La législation américaine empêche pour le moment l'opérateur américain HawkEye 360 de fournir les données brutes de géolocalisation de navires, alors qu'elles sont de plus en plus recherchées par les clients du renseignement. L'entreprise tâche discrètement de débloquer la situation.
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