La mise en pleine lumière médiatique depuis quinze jours d'Avisa Partners, le groupe de renseignement d'affaires et d'influence en ligne dirigé par Matthieu Creux, illustre l'ambivalence des entités étatiques à son égard, entre méfiance et alliance potentielle.
Les services de renseignement de Kiev suivent de très près les agissements du Département de l'information opérationnelle du FSB, qui a recruté sur son sol plusieurs agents à même de se faire les vecteurs des narratifs russes au sein de l'Etat ukrainien.
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Entre la fermeture momentanée du pipeline de la Caspienne et la séparation des destins du Kazakh Timour Koulibaïev et de l'Indien Arvind Tiku, deux magnats de l'énergie, les milieux d'affaires du secteur s'inquiètent dans le pays.
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Dans un contexte de méfiance grandissante, Moscou cherche à réglementer les activités des sociétés de sécurité privée (ou tchopi) qui exercent sur son sol. Objectif : mieux contrôler ces forces vives au plus près du terrain, tout en les mobilisant pour épauler ses services de sécurité.
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Dans le contexte de la guerre en Ukraine et du réarmement des pays scandinaves, le cabinet danois Navigate, doté d'une majorité de consultants issus du monde de la défense et du renseignement, veut devenir le leader des affaires publiques pour les groupes locaux et étrangers.
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Lancé dans la course au dépassement des 100 millions de livres de revenus cette année, Hakluyt continue son expansion. Après Washington, San Francisco et Dubaï, le cabinet de conseil stratégique et de renseignement d'affaires commence à prendre ses marques à Toronto.
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Composée d'anciens des forces spéciales, l'entreprise Carbon 01 tente de se faire une place dans un secteur dominé par les grands groupes : l'intégration des technologies aéroportées de renseignement. Elle se concentre sur des systèmes destinés aux pays aux budgets restreints.
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