ARCHIVES

Le patron de la Direction générale de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, et son homologue de la Sécurité d'Etat, Tony Saliba.
Le patron de la Direction générale de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, et son homologue de la Sécurité d'Etat, Tony Saliba.

Maître-espion | Liban, Syrie
Abbas Ibrahim et Tony Saliba à couteaux tirés pour capter la relation avec Damas

Omniprésent depuis l'accession à la présidence de Michel Aoun en 2016, Abbas Ibrahim avait depuis lors gardé à sa main la gestion de la relation avec l'imposant voisin syrien. Cette alliance de circonstance cède néanmoins la place aux logiques confessionnelles, à la faveur de la résurgence des ambitions personnelles de chacun.

Pakistan
Après l'échec de la trêve, Islamabad tente d'acculer ses Talibans pakistanais à la frontière

Espérant faire rentrer la branche pakistanaise des Talibans dans les rangs, le puissant Inter-Services Intelligence avait misé sur la trêve avec le TTP, déjà rompue. Les maîtres-espions d'Islamabad se concentrent désormais plutôt sur la sécurisation de la frontière avec l'Afghanistan, quitte à déchaîner les foudres de leurs affidés de Kaboul.

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La gazette du renseignement d'affaires 
Erys, Hakluyt, Veracity, Amarante, KPMG

Nominations, résultats financiers, nouveaux contrats : chaque semaine, les petites et les grandes histoires de la communauté mondiale du renseignement d'affaires, de New York à Londres, en passant par Paris.

ParisNathalie Félines revient dans la sécurité avec Erys.

LondresHakluyt se muscle encore dans le cyber.

New YorkVeracity Worldwide s'adjoint les services d'une diplomate devenue multi-consultante.

ParisLes anciens d'Interlira et d'Amarante se reforment chez Movisafe.

LondresKPMG enquête sur les partenaires étrangers de la "finance climatique" du Royaume-Uni.

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Russie
Le Kremlin reprend la main sur le réseau électrique du Daghestan, en droite ligne vers l'Iran

S'étant fixé l'objectif de verrouiller le pouvoir de la petite république caucasienne du Daghestan - et d'en éloigner ses oligarques locaux, déjà écartés des secteurs électrique et gazier -, le Kremlin cherche aussi à y asseoir de nouvelles opportunités vers l'Iran pour ses groupes d'énergie nationaux tels que Gazprom et Rosseti.

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