Ukraine
Les entreprises chinoises de surveillance Hikvision et Dahua dans le viseur des enquêteurs ukrainiens

Ukraine
Malgré l'activisme de Londres et Washington, Kiev poursuit sa quête d'outils chinois de vidéosurveillance

Afin d'équiper le sud du pays, le service ukrainien des gardes-frontières privilégie les modèles des fabricants chinois Hikvision et Dahua, alors que les Etats-Unis et le Royaume-Uni excluent progressivement ces derniers de leurs programmes d'aides.

Chine, États-Unis, Ukraine
Washington finance le remplacement des prestataires chinois en vidéosurveillance à Kiev

A la suite d'une demande des gardes-frontières ukrainiens, le Département d'Etat américain va financer et choisir un producteur à même de leur fournir un dispositif de surveillance vidéo à la frontière avec la Russie. Il ne sera pas chinois, Kiev et Washington voulant se défaire de ces prestataires désormais souvent bannis dans les dispositifs occidentaux.

La Watchlist technique
Hikvision et Dahua poussent à Paris, Mark Morland en solo après CPX, Intel 471 en force à Riyad, Eugenio Santagata coupe les ponts avec Cy4gate

Paris/Pékin
Nouvelle offensive de charme des géants chinois de la surveillance sur le marché français.

Abou Dabi
L'ex-vice-président des ventes de CPX, Mark Morland, se lance en solo comme conseiller cyber.

Riyad/Dallas
Abdulaziz Koujan sur le front saoudien d'Intel 471.

Rome
L'ex-PDG de Cy4gate Eugenio Santagata quitte définitivement le spécialiste italien du cyber-renseignement.

Royaume-Uni, Ukraine
La place boursière de Londres intègre les sanctions de Kiev dans sa base de données conformité

Les poussées ukrainiennes visant à inciter les partenaires européens à élargir l'imposition directe ou indirecte des sanctions ont fait une percée à Londres : LSEG inclut dorénavant les "sponsors internationaux de la guerre" dans sa base de données.

Ukraine
Le service des communications spéciales au cœur du dispositif cyber de contre-offensive

Le Service d'Etat des communications spéciales et de la protection de l'information (SSSCIP) va monter un centre de lutte active contre les cyberattaques. Celui-ci viendra compléter l'arsenal cyber de Kiev pour parer aux offensives russes.